Féminisme, voici ce qui assemble « Vista Chinesa » et « Les Dieux de Rachel ». Mais si « Vista Chinesa, de Tatiana Salem Levy raconte avec crudité un viol, « Les Dieux de Rachel » de Moacyr Scliar se focalise sur la difficile hybridation culturelle. Et si tout deux sont traduits du portugais brésilien, Tatiana fait partie de la jeune génération, génération qui a largement dépassée le statut de prometteuse. Quand à Moacyr, il est et restera un grand maître de la littérature brésilienne…